mardi 8 octobre 2013

"Para morir no se precisa más que estar vivo"/"Pour mourir, il suffit d'être vivant"

Historia Universal de la Infamia - Jorge Luis Borges


Dans ce livre, 8 biographies : un trafiquant d'esclaves, un usurpateur d'identité, une femme pirate, un cow-boy, un mafieux, un samouraï et un faux prophète. Il y a aussi une petite nouvelle puis un ensemble de textes que Borges a apprécié et a décidé de mettre dans son livre mais qui ne sont donc pas de lui.

Je n'ai pas du tout aimé ce livre. C'était sympa de lire en espagnol parce que, y a pas à dire, cette langue est magnifique mais le style de Borges ne me convainc pas. Les biographies étaient intéressantes parce qu'elles parlaient de personnes ayant eu des vies incroyables mais j'ai trouvé le style plat, je n'ai pas réussi à être transportée.
L'ensemble de textes à la fin m'a laissée complètement perplexe. Je n'ai pas compris l'intérêt de ces textes, n'ai pas saisi où Borges voulaient en venir. Il a surement simplement voulu partager des choses qu'il a aimé mais encore une fois je n'ai pas été touchée.
Par contre sa nouvelle, L'homme au coin du mur rose, j'ai adoré! Ça se lisait tout seul, c'était captivant.

J'avais emprunté une édition française à la bibliothèque afin de la lire en parallèle. Cette édition était suivi de Histoire de l'éternité : un recueil d'essais placé sous le signe de la rhétorique et de la métaphysique. Un ensemble de textes sans aucun lien les uns avec les autres dont je n'ai pas non plus compris l'intérêt et que j'ai détesté encore plus.
Vous l'aurez compris : Borges, c'est malheureusement pas pour moi!

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